Une petite note rapide pour vous dire que j'ai enfin trouvé la motivation de m'atteler à la mise par écrit de la présentation de mon analyse de la cantate de Scarlatti (Alessandro, l'Italien, pas son pote espagnol Domenico avec son petit clavecin bling-bling).
Le miracle est le suivant:
La voix magnifique de Sandrine Piau, découverte dans Handel et Vivaldi, et immédiatement associée à la pureté baroque.
Je parle de miracle, car c'est effectivement de cela qu'il s'agit: lors de ma présentation, en avril de l'année passée, je m'énervais tant sur la partition manuscrite, écrite en clés de fa, d'ut première et d'ut troisième, afin de déterminer les tonalités, que cette cantate ne faisait rien de plus que de m'exaspérer au plus haut point. En plus, ladite présentation avait lieu la semaine après les vacances de Pâques, une semaine avec des températures très douces et du soleil du matin au soir, que j'avais dû sacrifier pour mon bureau austère et cette idiote de Phyllis qui s'imaginait que je n'avais rien de mieux à faire que d'écouter ses jérémiades sur son Philène.
Grâce à un fichier sonore que mon amour d'ordinateur ne veut plus lire et à Sandrine Piau, me voici donc frétillante et papillonnante, prête à me replonger dans cette cantate.
Peut-être que je vous ferai découvrir la pièce au fur et à mesure de l'avancement de mes recherches. Peut-être pas.
Wait and see.
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A. Scarlatti, Questo silenzio ombroso, Piau / Lesne, part I
Ibidem, part II
Ibidem, part III
Sandrine Piau, photo trouvée ici
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Il y a 6 jours
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