jeudi 12 mars 2009

Schachnovelle (Stefan Zweig)

Nichts geht mehr: die Literatur hat hier die Musik überholt. Ich muss dringende Massnahmen ergreifen, um dies zu beheben. Also nach diesen Einträgen wird hier weider mehr über Musik geschrieben. Ich hoffe auch, dass ich bald wieder mal ins Konzert gehen kann. Nun aber - Stefan Zweig, die erste Begegnung.

Fischer, 110 Seiten

Meine Meinung: *****
Um halb Zwölf in der Nacht habe ich das Buch aufgeklappt, und nach zehn Seiten spätestens war mir klar dass ich das Licht nicht auslöschen würde, ehe ich diese Novelle zu Ende gelesen hätte. Und so war es dann auch. Um zwei Uhr morgens war ich fertig damit, und zeimlich verwirrt durch diese Atemberaubende Geschichte. Und fands schade, dass ich Schach nie richtig spielen gelernt habe, dabei möchte ich schon seit Jahren spielen. (Am gleichen Abend hatte ich auch noch einen Film gesehen, der sich um Poker dreht, dass ich noch weniger behersche.)(Grosse Frustration also.)
Es fällt mir ziemlich schwer zu sagen, was mir in dieser Novelle so gefallen hat. Es war mir einfach unmöglich, das Buch loszulassen, obwohl ich, wie gesagt, von Schach keine Ahnung habe. Wenn Zweig immer so fesselnd ist, dann freue ich mich sehr auf weitere Lektüren!

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Ich weiss nicht woran ich mich mehr freue : dass ich noch Deutsch lesen kann (obwhol diese Sprache ich nicht mehr sprechen kann)oder, dass diese Novelle dir gefällen hat.

J'arrête là les frais : mes maigres souvenirs (pourtant pas si lointains objectivement parlant) d'allemand ne suffiront pas à dire l'enthousiasme qu'a suscité en moi ce livre - lu d'une traite également. Ce n'est qu'ainsi, je crois, qu'on l'apprécie pleinement, que l'on est pris d'une fièvre semblable à celle qui prend le personnage principal. La montée en puissance est vraiment extraordinaire, on dirait un élan de vie, où sont compris (dans tous les sens du terme) les dangers qui vont avec - frissons de fièvre et lecture délirante.

Il semblerait que le jeu soit propice à ce genre de tension. On la trouve au début de la Peau de chagrin, par exemple. On la retrouve encore chez Zweig dans "Vingt-quatre heures de la vie d'une femme", où il y a une description (ou plutôt une animation) des mains d'un joueur absolument ahurissante. Mais cette fièvre, c'est surtout le souffle de Zweig, la cadence de son écriture - le jeu est accessoire et ne se retrouve pas dans la nouvelle à couper le souffle qu'est "Die Angst" (c'est la seule que j'ai lue en allemand, ayant convaincu le prof de nous en faire étudier après une overdose de Kafka). Voilà donc quelques pistes pour für deine "weitere Lektüren"... Je déconseillerais de poursuivre par la "Confusion des sentiments" qui risque de paraître décevant après des échecs si brillants !

[La couverture de ton édition est beaucoup mieux que celle du livre de poche en France. ]

la. a dit…

Une orverdose de Kafka?! Grands dieux, est-ce possible? O_o

Je n'ai pas lu les 24 heures de la vie d'une femme mais j'en ai vu l'adaptation cinématographique avec la belle Agnès Jaoui, et effectivement, le jeu des mains est captivant, de même que les physionomies tendues des joueurs.

L'adrénaline monte, monte, monte, presque comme au moment de monter sur scène.

Bon, je retourne à Hermann Hesse :o)