samedi 8 novembre 2008

Stopping By Woods On A Snowy Evening - Robert Frost

Le choix assez lourd de trois cours de littérature se fait de plus en plus sentir. L'agenda se rempli de lectures, un minimum de cinquante pages par jour. Parallèlement, la date des concerts avec l'orchestre approche, et il faut que je me débrouille avec la cinquième de Beethoven. Début décembre, deux auditions presque coup sur coup, la première au piano, Haydn et/ou Chopin, il faudra choisir, la seconde au violoncelle, une analyse du quatrième concerto de Beethoven, trois séminaires à rendre jusqu'à mi décembre. Le travail d'histoire, 30 pages.

D'ici mardi 17:oo, je dois avoir terminé Die Leiden des jungen Werthers (Goethe) et Die neuen Leiden des jungen W. (Plenzdorf). Soll heissen, ein Lesepensum von ca. 100 Seiten pro Tag...
En attendant de rédiger une critique des Provinciales de Pascal, je vous laisse avec ce poème, envoyé des Etats-Unis par Diego, mon violoncelliste mexicain. Et je reprendrai ses mots:
I hope this works in the wait.

Stopping By Woods On A Snowy Evening
-Robert Frost -

Whose woods these are I think I know.
His house is in the village though;

He will not see me stopping here

To watch his woods fill up with snow.


My little horse must think it queer

To stop without a farmhouse near

Between the woods and frozen lake

The darkest evening of the year.


He gives his harness bells a shake

To ask if there is some mistake.

The only other sound's the sweep

Of easy wind and downy flake.


The woods are lovely, dark and deep.

But I have promises to keep,

And miles to go before I sleep,

And miles to go before I sleep.

______________
picture taken here.

2 commentaires:

'tite Gogole a dit…

Oops... Je vais peut être arrêter de me plaindre de mon propre débordement, parce que je suis un peu petite joueuse, sur ce coup.

la. a dit…

Pourquoi? Tu lis des trucs sérieux, toi, au moins, pas des romans!
(Et puis Pascal, j'avoue, les vingt dernières pages, j'ai lu en diagonale tellement j'en pouvais plus.)(En même temps, ça va, les sempiternelles querelles sur les questions de foi/de fait, transsubstantiation, grâce suffisante, et tout ça, et tout ça - assez!!)